L’hypertension artérielle est-elle plus souvent causée par la génétique chez les femmes que chez les hommes ?

Une nouvelle étude suggère que certains facteurs de risque génétiques pourraient influencer l’hypertension artérielle plus souvent chez les femmes que chez les hommes. Les résultats montrent un effet plus fort des gènes surRisque d'hypertension artériellepar rapport aux facteurs liés au mode de vie tels que l’alimentation, l’exercice et la gestion du stress. De plus, les femmes sont plus susceptibles de développer une hypertension artérielle tôt ou tard dans la vie, selon les auteurs de l’étude.

L'hypertension artérielle chez la femme est-elle génétiquement déterminée ?

La recherche montre également que les femmes présentant un faible risque génétique sont moins susceptibles que les hommes présentant un tel risqueprédisposition génétiquesouffrez d’hypertension artérielle et vice versa. L’équipe de recherche a utilisé des données sur les génotypes de plus de 200 000 femmes et hommes au cours des cinq dernières décennies. Les résultats ont confirmé l'hypothèse selon laquelle les caractéristiques de risque génétiques spécifiques au sexe sont plus fortement associées au risque d'hypertension chez les femmes. Cela est particulièrement vrai pour le type d’hypertension artérielle qui survient tôt dans la vie. Cela montre que les causes sous-jacentes de l’hypertension artérielle chez les personnes qui deviennent hypertendues plus tôt dans la vie sont plus susceptibles d’être génétiques. De plus, les nouvelles découvertes pourraient avoir des implications cliniques importantes pour les patients et leurs médecins. Cette étude clé aide à clarifier comment les causes génétiques de l’hypertension artérielle diffèrent chez les femmes par rapport aux hommes. Les chercheurs étudient également la nécessité d’accorder encore plus d’attention à ces risques.

L'hypertension artérielle, également appelée hypertension, est le principal facteur de risque de maladies cardiovasculaires telles que les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et l'insuffisance cardiaque. Seulement environ un tiers des personnes touchées ont ajusté leur état à un niveau sûr. Cela fait de l’hypertension artérielle la maladie chronique la plus courante dans le monde occidental. Les auteurscette étudeont été les premiers à démontrer que les femmes avaient une tension artérielle « normale » inférieure à celle des hommes. D'autres recherches récentes montrent que des programmes de santé pratiques peuvent contrôler de manière rentable l'hypertension artérielle et prévenir les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux. Les chercheurs souhaitent ensuite découvrir quels gènes spécifiques affectent la tension artérielle chez les femmes par rapport aux hommes et évaluer le bénéfice potentiel des risques génétiques spécifiques au sexe.