Un médicament amaigrissant réduit la graisse d’environ 40 % selon une nouvelle étude

Une nouvelle étude chez la souris suggère qu'un médicament amaigrissant bloque un récepteur appelé neuropeptide Y (NPY). Cela augmente la production de chaleur dans le tissu adipeux et augmente la consommation alimentaire en réponse à la faim tout en réduisant la production d'énergie. En conséquence, le médicament a réduit la prise de poids d’environ 40 % chez les animaux nourris avec un régime riche en graisses. De plus, le principe actif ne semble pas traverser la barrière hémato-encéphalique, ce qui le rend différent des autres.Médicaments contre l'obésitéil est peu probable qu’elle nuise à l’humeur.

Un médicament potentiel pour perdre du poids est testé

Changer l’exercice et les habitudes alimentaires peut aider les gens à atteindre et à maintenir un poids santé. Cependant, prendre ces mesures efficacement peut s’avérer difficile pour de nombreuses raisons. Certaines personnes utilisent également des médicaments qui suppriment leur appétit. L’équipe de recherche s’est concentrée sur la molécule de signalisation nerveuse appelée NPY. Il aide de nombreux animaux, notamment les souris et les humains, à survivre dans des conditions propices aux pénuries alimentaires. Cependant, dans un environnement où les gens ont facilement accès à la nourriture et ne font pas suffisamment d’exercice, le NPY peut rendre la perte de poids particulièrement difficile.

Les chercheurs ont découvert que les souris ayant reçu le médicament prenaient 40 % de poids en moins. L’équipe a ensuite déterminé que cela était dû à une production accrue de chaleur dans le tissu adipeux brun des animaux et à une réduction de la masse grasse totale. Cela suggère que le médicament ou des molécules similaires pourraient agir de la même manière chez les humains que chez les souris. En plus de réduire la prise de poids chez la souris, les auteurs ont découvert que le blocage de Y1 avait plusieurs effets, notamment l’amélioration du métabolisme du glucose.Cette étudesuggère qu'un tel traitement de l'obésité augmente la dépense énergétique via la combustion des graisses, conduisant à une perte de poids. Cependant, il convient également de noter que le métabolisme est différent chez la souris et chez l’homme, ce qui nécessiterait de multiples tests.