Une nouvelle étude suggère que diverses activités sportives ont un effet positif sur l'évolution de la maladie et pourraient prévenir la maladie de Parkinson. De plus, la canetteactivité physique régulièreaméliorer les effets cliniques à long terme de la maladie de Parkinson, selon les auteurs de l'étude. Ils ont découvert que les symptômes sont dus à la mort des cellules productrices de dopamine dans le ganglion du Soemmerring (substantia nigra). C'est la partie du cerveau responsable du mouvement, de la récompense et de la dépendance.
L'exercice comme mesure précoce pourrait-il prévenir la maladie de Parkinson ?
Actuellement, un médicament appelé lévodopa aide à soulager les symptômes de la maladie de Parkinson. Cependant, les patients peuvent ressentir des effets secondaires et le médicament ne retarde pas la progression de la maladie. Aujourd'hui, une équipe de recherche de l'Université de Kyoto au Japon a montré que l'exercice deux fois par semaine peut ralentir la progression de la maladie de Parkinson chez les personnes à un stade précoce. Selon les scientifiques, les effets de l’exercice lui-même s’étendent au-delà de la durée de l’activité physique. Cela suggère que l’exercice régulier pourrait avoir un impact à long terme sur la progression de la maladie. Dans l’ensemble, les résultats de l’étude ont montré qu’une activité physique régulière avait un impact significatif sur l’équilibre et la stabilité des participants à l’étude.
Selon les chercheurs, l’objectif de l’exercice physique ne devrait pas être de remplacer la pharmacothérapie, mais de travailler avec la pharmacothérapie. De cette façon, l’exercice maximiserait la qualité de vie des patients. De plus, une telle approche thérapeutique pourrait améliorer la stabilité de la posture et de la démarche ainsi que la vitesse de traitement des personnes concernées. Outre le sport, l’équipe de recherche définit l’exercice physique comme les activités de la vie quotidienne qui nécessitent des efforts dans le cadre du travail, des loisirs ou des activités domestiques. Plus précisément, l'étude a montré qu'une activité physique modérée à vigoureuse augmentait l'équilibre et la stabilité des individus au fil du temps par rapport aux activités domestiques, professionnelles et de loisirs en général. De même, les niveaux d’activité liés au travail ont montré des réductions plus importantes de la baisse de la vitesse de traitement.Ce travail de recherchesouligne principalement que l'entraînement peut prévenir les effets négatifs à long terme de la maladie de Parkinson.